Oui au grignotage régressif, non au grignotage émotif!

On ne va pas se mentir. Quand vient l’heure du goûté une bonne sucrerie ça fait du bien! Mais quand on ne sait plus s’arrêter se sont nos émotions qui prennent le pas sur la raison. Pourquoi allons-nous trop loin? Il y a plusieurs causes possibles comme  un bouleversement émotionnel que nous avons tendance à soigner par voie digestive, mais aussi des composants addictifs venant d’aliments transformés qui brouillent notre deuxième cerveau en le droguant non d’un raille, mais d’un chemin de fer de sucre blanc et de gras. Voici comment équilibrer tout ça pour faire en sorte de grignoter en toute lucidité.

Compenser avec de l’eau: Aller une bonne petite gorgée par ci et une autre par là et vous venez de consommer 1 litre d’eau sans même vous en rendre compte. Cela peut être en supplément sous forme de thé ou café (nature svp!). Ajoutez à ça votre consommation de fruits et légumes et vous atteindrez facilement le 1,5L! Le tout est de se fixer un objectif en prenant une bouteille de 1L et de se dire qu’il faut la finir avant la fin de la journée sous peine de rajouter la quantité restante à votre objectif du lendemain (autopunition).

Un bon brossage de dent après un repas: Et oui comme ça on fait croire au cerveau numéro 1 que quand c’est fini c’est fini! Et puis quel dommage de perdre sa fraicheur buccale en ravalant une sucrerie.

Ranger son intérieur et l’intérieur: une maison et un esprit désordonné peut influencer notre comportement alimentaire et nous inciter au craquage. La faute au stress que cela peut générer et qui nous donne envie de grignoter pour se rassurer. Alors, on range sa cuisine et tout le reste et on fait une liste des choses à faire avant la fin de la journée cela vous canalisera et puis quel plaisir de barrer une tâche sur une liste et mieux, se rendre compte qu’on à atteint ses objectifs c’est donc du temps d’économisé sur le grignotage.

On se questionne: Il arrive que les petites astuces ne suffisent pas et qu’il soit nécessaire de creuser dans son fort intérieur pour y trouver un élément de réponse. Demandez-vous quels sont les autres moyens de vous faire plaisir et focalisez-vous dessus dès que l’envie s’en ressent (le tricot, une promenade, du sexe…). Si au contraire rien d’autre ne vous fait vibrer alors il est temps de vous trouver un nouveau moyen de réconfort. Mais le plus important, c’est de sortir ou de s’éloigner de tout endroit de tentation (la cuisine, le salon de thé…). 

Et surtout, ne voyez pas ça comme une privation. Vous n’en avez tout simplement pas besoin! Votre corps n’en a tout simplement pas besoin! Du moins pas en grande quantité. Il n’y a pas de privation là où il n’y a pas de nécessité et quand bien même vous croyez en avoir besoin, souvenez vous que certains aliments que vous consommez vous influencent et vous incitent à consommer toujours plus toujours plus gras et sucré. Alors, arrêtez de vous faire mener par le bout du ventre et grignotez en toute conscience!